2 - Mystere DOULOUREUX : LA FLAGELLATION
Un point de départ possible pour la méditation : Marie était là, c'est certain. Jean avait dû venir la chercher après Gethsémani. Elle devait être dans la foule qui assistait au discours de Pilate. Jésus est innocent, même Pilate le reconnait. Marie est là, elle souffre, le voici le glaive dont parlait Siméon au moment de la présentation de Jésus au Temple. Vous pouvez méditer sur la souffrance, la maladie, l'incompréhension de ces douleurs et le sentiment d'injustice. Vous pouvez demander la grâce pour vous ou pour d'autres de vivre la souffrance comme Marie la vivait, comme Jésus la vivait.
références : Lc 23, 13-16
Alors Pilate convoqua les grands prêtres, les chefs et le peuple. Il leur dit : « Vous m’avez amené cet homme en l’accusant d’introduire la subversion dans le peuple. Or, j’ai moi-même instruit l’affaire devant vous et, parmi les faits dont vous l’accusez, je n’ai trouvé chez cet homme aucun motif de condamnation. D'ailleurs, Hérode non plus, puisqu'il nous l’a renvoyé. En somme, cet homme n’a rien fait qui mérite la mort. Je vais donc le relâcher après lui avoir fait donner une correction. »
La prière et la méditation de l'ensemble de ces mystères du Rosaire sont répartis sur les jours de la semaine : le lundi et le samedi, les mystères joyeux ; le mardi et le vendredi, les mystères douloureux ; le mercredi et le dimanche, les mystères glorieux ; et le jeudi, les mystères lumineux.